| Alexar | | Administrateur |  | | 305 messages postés |
|  Posté le 30-08-2004 à 13:17:39   
| En pénétrant dans le fumoir, c’est une toute nouvelle visyon de l’UI qui s’offre à vous.
La pyèce est propre, plutôt ordonnée, de bons gros fauteuyls à l’aspect des plus confortables s’offre à votre vue. La chaleur diffusé par le feu brûlant quasiment constamment dans l’âtre se fait peu à peu à peu sentir et vous êtes soudain pris de l’envie irrésistible de rejoindre les quelques Uistes déjà présent dans cette pyèce.
Vous pénétrez donc dans le célèbre fumoir de l’université et décidez de prendre syège autour du feu.
Avant de vous asseoir, vous jetez un regard plus approfondis sur cette pyèce.
De nombreuses fauteuyls et canapés sont posés ça et là, quelques tables sont installés non loin, souvent supportant le poids d’un petit tonneau de gnôle et de quelques verres, certains à moityé plein et laissé à l’abandon, d’autres vides et presque propres.
Sur les murs sont posés quelques tableaux, représentant certains hauts personnage de l’UI et d’autres personnalités sûrement très connus, mais pas par vous.
Dans un fauteuyl, au fond à droite, une masse sombre ressemblant à un vieux tas de chiffons est installé près du feu et de la fumée en sort. De peur que ce soit un feu débutant, vous vous approchez avant de constater que ce que vous avyez pris pour le linge sale du doyen brûlant n’est en fait ryen d’autre qu’un estudyant, roulé en boule, assoupis, sa pipe à la bouche… Vous le laissez donc à son repos avant de rejoindre vous même un fauteuyl que vous avyez repéré depuis que vous êtes rentré dans cette pyèce et qui à l’air fort confortable…
En vous enfonçant dans le fauteuyl, vous vous sentez saisir par une énorme lassitude, une lassitude que vous avez rarement eu, vous avez l’impressyon que vous pourryez rester ainsi indéfiniment…
La chaleur du feu commence à réellement se propager en vous, ryen ne peut plus vous perturbez, vous vous laissez peu à peu bercer par le doux bruit des branches craquant dans le feu, l’odeur de fumée de bon bois sec, se mélangeant avec celle de la Varenga et celle de la dernière cuvée de gnole, toute fraîchement ouverte embaume jusqu’à vos narines.
Vous commencez alors à errer dans un demi sommeyl des plus agréable. Vous vous sentez relaxer et reposer, vos soucis sont depuis longtemps oublyés et vous êtes presque totalement détendu lorsque, surgit de nul part, un énergumène caché sous un chapeau pointus aux couleurs des plus cryardesk, arrive devant vous et commence à hurler quelques paroles incompréhensible à propos d’un évènement soit disant de la plus haute importance dont, byen évidemment, ne comprenez pas un traître mot, le tout vous ramenant durement à la réalité, tirant un trait définitif sur votre repos.
Bon gré mal gré, vous vous retrouvez donc assis dans votre fauteuyl, le tonneau de gnole posé non loin de vous, un verre à ses cotés vous appelant fortement.
Les conversatyons peuvent alors commencer…
Message édité le 30-08-2004 à 13:24:28 par Alexar |
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